mardi 7 juin 2016

Le Verbe s'est fait chair pour que nous Le recevions dans la divine Eucharistie

Du vénérable abbé Henri Marie Boudon,
« Dieu seul », 2e règle

Ces enfants de l’Eglise demandent du pain de la parole divine et ils languissent, ils meurent, parce que ceux qui, de droit naturel, humain et divin, portent en eux une obligation indispensable de leur distribuer cette nourriture salutaire, ne s’acquittent pas de leur charge et ils ne s’en acquittent pas, ou bien parce qu’ils n’en sont pas capables ou bien parce qu’ils n’ont ni la crainte, ni l’amour de Dieu.

~ O mon Dieu ! ô mon Seigneur ! ô adorable Jésus !
Est-il possible que parmi des personnes qui font profession de vous adorer, qui savent et qui ne peuvent douter que vous n’avez donné votre vie pour le salut des âmes et que vous avez, pour ce sujet, enduré des peines qui surpassent tout ce que l’on peut dire, il s’en rencontre qui exposent le salut de ces âmes à  si bon marché ?


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