Du vénérable abbé Henri Marie Boudon, « Au Dieu inconnu », préface
Votre divine providence qui m’a toujours servi de
la meilleure et de la plus fidèle des mères, qui dispose des temps comme il lui
plait et qui en tient tous les moments en sa puissance, a voulu que le jour de ma naissance en cette terre
d’exil fût un jour de samedi dédié à la très sainte Vierge, me l’ayant
destinée pour être mon refuge dans tous mes besoins, et le quatorzième de janvier consacré en l’honneur du très doux Nom de
Jésus (et j’écris ceci le jour de cette solennité).
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