Dernières paroles
de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, ocd., in « Carnet jaune », 3 juillet 1897, 2
Je
lui confiais mes pensées de tristesse et de découragement après une faute.
« ...
Vous ne faites pas comme moi. Quand j’ai commis une faute qui me rend triste,
je sais bien que cette tristesse est la
conséquence de mon infidélité.
Mais,
croyez-vous que j’en reste là ?! Oh ! non, pas si sotte ! Je m’empresse de dire au bon Dieu : Mon
Dieu, je sais que ce sentiment de tristesse, je l’ai mérité, mais laissez-moi
vous l’offrir tout de même, comme une épreuve que vous m’envoyez par amour.
Je regrette mon péché, mais je suis
contente d’avoir cette souffrance à vous offrir. »
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