Du vénérable abbé Henri Marie Boudon, Lettre 217
Je ne sais comment
je suis de ma santé : ce que je mange je le digère bien &
cependant je suis dans une faiblesse étrange. En vérité, Monsieur, notre secours est au Nom du Seigneur qui a fait le
ciel & la terre : du côté des moyens humains je n’en vois guères, ou
plutôt je n’en vois point, mais enfin Dieu seul en trois Personnes dans l’union
sacrée du Cœur de notre bon Sauveur Jésus-Christ.
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