Du vénérable abbé Henri Marie Boudon, « Le
triomphe de la Croix », chap. 3
C’est cet amour si
déréglé, et qui dans la vérité est une grande haine, qui porte à des extrémités
que l’on aurait de la peine à croire. Car qui pourrait s’imaginer que ce fantôme
d’amour allait jusqu’à procurer un malheur éternel comme nous le lisons de
saint Thomas d’Aquin à qui l’on envoya une courtisane pour le corrompre afin de
l’empêcher d’être religieux. Mais, ô mon Sauveur, qu’il est vrai que le monde
ne connait point ; qu’il est vrai que vous n’êtes point du monde !
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