Les Rameaux, l'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem. Lorenzotti Pietro |
Du
prophète Zacharie
Exulte avec force, fille de Sion !
Crie de joie, fille de Jérusalem ! Voici que ton roi vient à toi : il
est juste et victorieux, humble, monté sur un âne, sur un ânon, le petit d'une
ânesse.
De l'Evangile selon saint Jean
De l'Evangile selon saint Jean
Jésus,
trouvant un petit âne, s'assit dessus selon qu'il est écrit : Sois sans
crainte, fille de Sion : voici que ton roi vient, monté sur un petit
d'ânesse.
Cela, ses disciples ne le comprirent pas tout d'abord ; mais quand Jésus eut été glorifié, alors ils se souvinrent que cela était écrit de lui et que c'était ce qu'on lui avait fait.
De l'Evangile selon saint Matthieu
Cela, ses disciples ne le comprirent pas tout d'abord ; mais quand Jésus eut été glorifié, alors ils se souvinrent que cela était écrit de lui et que c'était ce qu'on lui avait fait.
De l'Evangile selon saint Matthieu
Lorsqu'ils approchèrent de Jérusalem et qu'ils furent arrivés à
Bethphagé, vers le mont des Oliviers, Jésus envoya deux disciples en leur
disant : «Allez au village qui est devant vous ; vous y trouverez
tout de suite une ânesse attachée et un ânon avec elle ; détachez-les et
amenez-les-moi. Si quelqu'un vous dit quelque chose, vous répondrez : 'Le
Seigneur en a besoin.' Et à l'instant il les laissera aller.»
Or tout ceci arriva
afin que s'accomplisse ce que le prophète avait annoncé : Dites à la fille
de Sion : 'Voici ton roi qui vient à toi, plein de douceur et monté sur un
âne, sur un ânon, le petit d'une ânesse.'
Les disciples allèrent
faire ce que Jésus leur avait ordonné. Ils amenèrent l'ânesse et l'ânon, mirent
leurs vêtements sur eux, et Jésus s'assit dessus. Une grande foule de gens
étendirent leurs vêtements sur le chemin ; d'autres coupèrent des branches
aux arbres et en jonchèrent la route. Ceux qui précédaient et ceux qui
suivaient Jésus criaient : «Hosanna au Fils de David ! Béni soit
celui qui vient au nom du Seigneur! Hosanna dans les lieux très hauts !»
Lorsqu'il entra dans Jérusalem, toute la ville fut troublée. On disait : «Qui est cet homme ?» La foule répondait : «C'est Jésus, le prophète de Nazareth en Galilée.»
Lorsqu'il entra dans Jérusalem, toute la ville fut troublée. On disait : «Qui est cet homme ?» La foule répondait : «C'est Jésus, le prophète de Nazareth en Galilée.»
Ecce Homo, d'Abraham Bloemaert |
Mon peuple, que t'ai-je fait ? En quoi t'ai-je
offensé ? Réponds-moi !
Ô Dieu Saint, ô Dieu Saint et Fort, ô Dieu Saint,
Dieu Fort, Immortel, prends pitié de nous.
Mon peuple que t'ai-je fait ? En quoi t'ai-je
offensé ?
De l'esclavage d'Égypte moi je t'ai tiré, mais toi, tu prépares une
croix pour ton Rédempteur.
Mon peuple, que t'ai-je fait ? En quoi t'ai-je
offensé ? Réponds-moi !
Ô Dieu Saint, ô Dieu Saint et Fort, ô Dieu Saint,
Dieu Fort, Immortel, prends pitié de nous.
Quarante ans je t'ai conduit à travers le désert,
je t'ai nourri de la manne, et je t'ai fait entrer dans la terre Promise, mais
toi, tu prépares une croix pour ton Rédempteur.
Mon peuple, que t'ai-je fait ? En quoi t'ai-je
offensé ? Réponds-moi !
Ô Dieu Saint, ô Dieu Saint et Fort, ô Dieu Saint,
Dieu Fort, Immortel, prends pitié de nous.
Qu'aurais-je dû faire pour toi que je n'ai
fait ? Je t'ai planté moi-même comme une vigne choisie, mais toi, tu m'as
nourri d'amertume.
J'avais soif, tu m'as abreuvé de vinaigre et d'une lance tu as percé le
cœur de ton Sauveur.
Ô Dieu Saint, ô Dieu Saint et Fort, ô Dieu Saint,
Dieu Fort, Immortel, prends pitié de nous.
Moi, pour toi j'ai frappé l'Egypte, mais toi, tu
m'as flagellé et tu m'as livré à la mort.
Je t'ai fait sortir d'Egypte, j'ai englouti Pharaon, mais toi, tu m'as
livré aux grands prêtres.
Ô Dieu Saint, ô Dieu Saint et Fort, ô Dieu Saint,
Dieu Fort, Immortel, prends pitié de nous.
Je t'ai ouvert un passage dans la mer, mais toi, tu
m'as ouvert le côté avec une lance.
J'ai marché devant toi dans une colonne de nuée, mais toi, tu m'as
conduit devant Pilate.
Mon peuple, que t'ai-je fait ? En quoi t'ai-je
offensé ? Réponds-moi !
Ô Dieu Saint, ô Dieu Saint et Fort, ô Dieu Saint,
Dieu Fort, Immortel, prends pitié de nous.
Quand tu étais dans le désert, je t'ai nourri de la
manne, mais toi, tu m'as frappé au visage et flagellé.
J'ai fait jaillir l'eau du rocher et je t'ai sauvé, mais toi, tu
m'abreuves de fiel et de vinaigre.
Mon peuple, que t'ai-je fait ? En quoi t'ai-je
offensé ? Réponds-moi !
Ô Dieu Saint, ô Dieu Saint et Fort, ô Dieu Saint,
Dieu Fort, Immortel, prends pitié de nous.
Moi, pour toi j'ai frappé les Rois de Canaan, mais
toi, tu m'as frappé d'un roseau.
Moi, par ma toute puissance, je t'ai élevé, exalté, mais toi, tu m'as
élevé et cloué sur le bois de la Croix.
Ô Dieu Saint, ô Dieu Saint et Fort, ô Dieu Saint,
Dieu Fort, Immortel, prends pitié de nous.
Le Titien. Jésus portant la Croix. |
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