A ces sentiments
d’admiration se joignaient ceux du plus tendre et du plus respectueux
dévouement :
« O mon âme ! disait le saint homme, quand serons-nous tout à Marie pour être, par elle, tout à Jésus Christ.
Vierge pure ! je veux vous aimer autant que Dieu le désire.
O sainte Mère de Dieu ! montrez que vous êtes ma mère !
O mon cœur ! souvenons-nous bien que nous ne sommes plus à nous, qu’appartenant à la reine du ciel nous ne pouvons plus disposer de nos affections.
O mon âme ! tout est à Marie pour la gloire de Jésus et si cela est, il n’y a donc plus rien en nous pour aucune créature. »
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