dimanche 12 avril 2015

2e Dimanche Pâques, dimanche de la divine miséricorde

Le Christ est ressuscité !

Joyeuses Pâques !


Sainte Faustine Kowalska (1905-1938), religieuse, « Petit Journal », § 1570


« Ne devais-tu pas...avoir pitié de ton compagnon, comme moi-même j'avais eu pitié de toi ? »

Ô Dieu de grande miséricorde, Bonté infinie, voilà qu'aujourd'hui l'humanité tout entière appelle de l'abîme de sa misère ta miséricorde, ta pitié, ô Dieu ; et elle appelle avec la voix puissante de la misère.

Dieu bienveillant, ne rejette pas les prières des exilés de cette terre.

Ô Seigneur, Bonté inconcevable, tu connais à fond notre misère et tu sais que nous ne pourrions pas de nos propres forces nous élever jusqu'à toi.

C'est pourquoi, nous t'en supplions, devance-nous de ta grâce et augmente sans cesse en nous ta miséricorde, afin que nous accomplissions fidèlement ta sainte volonté durant toute notre vie, ainsi qu'à l'heure de notre mort. Que la toute-puissance de ta miséricorde nous abrite des attaques des ennemis de notre salut, afin que nous attendions avec confiance, comme tes enfants, ta venue dernière, dont le jour est connu de toi seul. Et nous, nous attendons à recevoir tout ce qui nous est promis par Jésus, malgré toute notre misère, car Jésus est notre espérance ; par son Cœur miséricordieux nous passons comme par les portes ouvertes du ciel.

Sainte Faustine Kowalska

La Prière de la sainte Sœur Faustine Kowalska (1905-1938) : « Je Te salue, très miséricordieux Cœur de Jésus »

Je Te salue, très miséricordieux Cœur de Jésus, source vivante de toutes les grâces, unique abri et notre refuge, en Toi je trouve l'éclat de l'espérance.

Je Te salue, très compatissant Cœur de mon Dieu, insondable, vivante source d'amour d'où jaillit la vie pour l'homme pécheur ainsi que la source de toute douceur.

Je Te salue, plaie ouverte du Très Saint Cœur d'où sont sortis les rayons de miséricorde et d'où il nous est donné de puiser la vie uniquement avec le vase de la confiance.

Je Te salue, bonté de Dieu, inconcevable, jamais mesurée, ni approfondie, pleine d'amour et de miséricorde mais toujours sainte, et cependant Tu es comme une bonne mère qui se penche sur nous.

Je Te salue, trône de la miséricorde, Agneau de Dieu, Toi qui offris Ta vie en sacrifice pour moi, Toi devant qui chaque jour mon âme s'abaisse vivant en une foi profonde. Ainsi soit-il.


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