mercredi 4 juillet 2018

"Mais priez, mes enfants ! Mon Fils se laisse toucher." (Notre Dame, à Pontmain)

Saint Josémaria Escriva et le bienheureux Alvaro del Portillo, fondateurs de l'Opus Dei

De Saint Josémaria Escriva, Amis de Dieu, nn. 253-255

Dans ta prière, je te conseille d’intervenir dans les scènes de l'Evangile, comme un personnage de plus.

Représente-toi d'abord la scène ou le mystère qui te servira à te recueillir et à méditer. Ensuite mets à contribution ton intelligence pour contempler un trait de la vie du Maître : son Cœur attendri, son humilité, sa pureté, son accomplissement de la Volonté du Père. Puis raconte-Lui ce qui t'arrive d'ordinaire dans ce domaine, ce qui se passe chez toi, en ce moment. Demeure attentif. Il voudra peut-être t'indiquer quelque chose : et c'est alors que viendront les motions intérieures, les découvertes, les reproches.

Il y a mille façons de prier. Les enfants de Dieu n'ont pas besoin d'une méthode, toute faite et conventionnelle, pour s'adresser à leur Père. L'amour est inventif, ingénieux ; si nous aimons, nous saurons découvrir des chemins personnels, intimes, qui nous mènent au dialogue continuel avec le Seigneur. (…)

Et si nous faiblissons, recourons à l'amour de Sainte Marie, Maîtresse de prière et à saint Joseph, notre Père et Seigneur que nous vénérons tant, car il est celui qui, en ce monde, a été le plus proche de la Mère de Dieu et — après Sainte Marie — de son Divin Fils. Tous les deux présenteront à Jésus notre faiblesse, pour qu'Il la transforme en force.

Sillon, n.453

Un catholique sans prière ?... C'est comme un soldat sans armes.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire