En ce saint jour du 2 août, l'Eglise célèbre la solennité de la dédicace de la basilique Notre-Dame des Anges, à Assise.
En effet le grand saint d'Assise, S. François, eut une célèbre apparition de Notre Seigneur et de sa douce Mère, entourés d'anges bienheureux, à qui il demanda une grande grâce : celle de la rémission complète des conséquences de leurs péchés - l'indulgence plénière -, à tous ceux qui entreraient dans une église pour y prier, tout simplement.
N'avaient-ils pas entendu, quelques années auparavant qu'il devait rebâtir l'Eglise du Seigneur ? Quel travail en perspective !
N'avaient-ils pas entendu, quelques années auparavant qu'il devait rebâtir l'Eglise du Seigneur ? Quel travail en perspective !
Que d'efforts ! ... Vraiment ?
C'est en vérité une chose bien simple, bien pauvre, que de rebâtir l'Eglise.
Tout d'abord, tout fonder sur le Christ, pierre d'angle de notre foi.
Comment ? En vivant le saint Évangile, en vivant de sa douce présence dans la prière, en vivant de sa puissance agissante efficacement dans les Sacrements de l'Eglise et de ses bénédictions.
L'Eglise nous offre aujourd'hui une très grande grâce, il suffit juste de bien vouloir faire un petit effort pour la recevoir. En la personne du bx. Pape Paul VI, elle nous rappelle l'importance de cette grâce dans l'Enchiridion des indulgences, de cette pratique qui nous guérit à l'intime, nous rend la joie divine et nous prépare au Ciel. Recevoir l'indulgence de Dieu qui, de manière plénière, va nous guérir à l'intime et nous rendre la joie d'être sauver.
Tout d'abord, tout fonder sur le Christ, pierre d'angle de notre foi.
Comment ? En vivant le saint Évangile, en vivant de sa douce présence dans la prière, en vivant de sa puissance agissante efficacement dans les Sacrements de l'Eglise et de ses bénédictions.
L'Eglise nous offre aujourd'hui une très grande grâce, il suffit juste de bien vouloir faire un petit effort pour la recevoir. En la personne du bx. Pape Paul VI, elle nous rappelle l'importance de cette grâce dans l'Enchiridion des indulgences, de cette pratique qui nous guérit à l'intime, nous rend la joie divine et nous prépare au Ciel. Recevoir l'indulgence de Dieu qui, de manière plénière, va nous guérir à l'intime et nous rendre la joie d'être sauver.
Si nous ne voulons pas recevoir cette grâce pour nous-mêmes, nous pouvons la recevoir pour un fidèle défunt qui attend nos prières et, ainsi, quitter l'état de Purgatoire pour entrer dans le Paradis. Alors ! Qu'attendons-nous ? Quel bel acte de charité ce serait, soi pour nous-même, soit pour notre prochain défunt !
Chaque 2 août, il suffit à un chrétien en état de grâce, dûment confessé et absous, d'entrer dans une église pour y assister à la Messe, communier sacramentellement, prier aux intentions du Pape et de l'Eglise, pour recevoir une si grande grâce.
Ne soyons ni trop fiers, ni orgueilleux. Le Seigneur est simple et confond la prétendue sagesse du monde. Il est simple, doux et humble de cœur, et son Royaume appartient à ceux qui se comportent comme ses enfants.
Rappelons-nous ce célèbre passage des saintes Écritures (II R 5,10-14) :
Élisée envoya un messager lui dire (à Naaman le Syrien) : « Va te baigner sept fois dans le Jourdain, et ta chair redeviendra nette, tu seras purifié. »
Naaman se mit en colère et s’éloigna en disant : « Je m’étais dit : Sûrement il va sortir, et se tenir debout pour invoquer le nom du Seigneur son Dieu ; puis il agitera sa main au-dessus de l’endroit malade et guérira ma lèpre. Est-ce que les fleuves de Damas, l’Abana et le Parpar, ne valent pas mieux que toutes les eaux d’Israël ? Si je m’y baignais, est-ce que je ne serais pas purifié ? » Il tourna bride et partit en colère.
Mais ses serviteurs s’approchèrent pour lui dire : « Père ! Si le prophète t’avait ordonné quelque chose de difficile, tu l’aurais fait, n’est-ce pas ? Combien plus, lorsqu’il te dit : “Baigne-toi, et tu seras purifié.” »
Il descendit jusqu’au Jourdain et s’y plongea sept fois, pour obéir à la parole de l’homme de Dieu ; alors sa chair redevint semblable à celle d’un petit enfant : il était purifié !
Ne faisons donc pas notre "Naaman" capricieux et accueillons la grâce. Surtout qu'il ne s'agit même plus d'entrer dans le Jourdain, mais dans une église quelle soit cathédrale, paroissiale ou abbatiale, un simple prieuré de monastère ou un petit oratoire fera bien l'affaire.
Soyons simple avec le Bon Dieu comme Il l'est Lui-même, la simplicité, l'amour-même, infiniment bon et infiniment aimable.
Soyons simple avec le Bon Dieu comme Il l'est Lui-même, la simplicité, l'amour-même, infiniment bon et infiniment aimable.
Soyons simples, comme le petit enfant qui annone le "Notre Père", le "Credo" et le "Je vous salue Marie" aux intentions du Pape et de l'Eglise. Comme le saint Curé d'Ars qui disait devant Jésus au Très Saint Sacrement, au tabernacle :
Je vous aime, ô mon Dieu, et mon seul désir est de vous aimer jusqu’au dernier soupir de ma vie.
Je vous aime, ô Dieu infiniment aimable, et j’aime mieux mourir en vous aimant que de vivre un seul instant sans vous aimer.
Je vous aime, ô mon Dieu, et je ne désire le ciel que pour avoir le bonheur de vous aimer parfaitement.Je vous aime, ô mon Dieu, et je n’appréhende l’enfer que parce qu’on y aura jamais la douce consolation de vous aimer.
Ô mon Dieu, si ma langue ne peut dire à tout moment que je vous aime, du moins je veux que mon cœur vous le répète autant de fois que je respire.
Ah ! Faites-moi la grâce de souffrir en vous aimant, de vous aimer en souffrant, et d’expirer un jour en vous aimant et en sentant que je vous aime.Et plus j’approche de ma fin, plus je vous conjure d’accroître mon amour et de le perfectionner. Ainsi soit-il.
Soyons simples et humbles, voilà qui confond l'audace du démon et de ses diables qui nous tourmentent comme ils aiment à tourmenter et avilir ce monde qui ne les écoute que trop.
Nous en voyons les conséquences. Nous nous en désolons. Mais prenons-nous les moyens de Dieu pour les contrer ?
Nous en voyons les conséquences. Nous nous en désolons. Mais prenons-nous les moyens de Dieu pour les contrer ?
Adoration, réparation, humilité,
prière, foi et charité.
Le vénérable abbé Henri Marie Boudon, notre grand et céleste Patron, aimait plus que tout (après Jésus - Hostie, évidemment), sa sainte Mère entourée de ces glorieux esprits célestes.
Les anges et les neuf chœurs des Esprits bienheureux ne sont-ils pas nos modèles en tant que priants, œuvrant sans relâche pour la gloire de Dieu et le Salut des hommes ? Et notre Dame et notre Reine, n'est-elle pas Mère de Dieu et la plus parfaite des créatures du Seigneur ? Elle doit devenir notre modèle, dans l'ordre de l'humilité, dans ceux de l'offrande et de la charité.
Les anges et les neuf chœurs des Esprits bienheureux ne sont-ils pas nos modèles en tant que priants, œuvrant sans relâche pour la gloire de Dieu et le Salut des hommes ? Et notre Dame et notre Reine, n'est-elle pas Mère de Dieu et la plus parfaite des créatures du Seigneur ? Elle doit devenir notre modèle, dans l'ordre de l'humilité, dans ceux de l'offrande et de la charité.
Comme nous avons de la chance, quelle grâce que d'être chrétiens ! Se savoir aimé. Créés par l'Amour-même, notre vocation est céleste. Vivre éternellement dans la gloire du Paradis en fête, au milieu des Anges et des Saints. Converser face à Face avec la Très Sainte Trinité ! Que le Ciel sera beau et que l'éternité nous paraîtra courte !
Ce matin, dans la Cathédrale Notre-Dame d'Evreux, nous célébrerons les saints Mystères. Nous chanterons la sainte Messe avec les Anges : la gloire infinie de notre Dieu qui se donne à entendre dans sa divine Parole et qui se donne comme Pain de la Vie véritable. Ce sera un début de Ciel sur cette terre. Avec les confrères présents, unis à nos amis absents ou déjà endormis dans la paix du Christ, nous jubilerons et tressaillirons avec les Esprits bienheureux et la sainte Mère de Dieu, notre Patronne. Nous nous mettrons à l'école de Marie, toute sainte, toute pure, Reine des Anges, Modèle des chrétiens. Nous recevrons Jésus-Hostie dans la chapelle où reposent les reliques de ce grand serviteur de Dieu pour nous réjouir, avec lui, d'une telle grâce.
Confions-nous à Monsieur Boudon !
Confions-lui nos diocèses, notre pays, l'Eglise, le Saint-Père et les Évêques, toutes les intentions qui nous sont confiées et celles connues de Dieu seul, gardées au plus secret du cœur. Que la gloire divine se lève sur la terre, Soleil de justice, aurore du Royaume ! Que son Règne vienne !
Confions-lui nos diocèses, notre pays, l'Eglise, le Saint-Père et les Évêques, toutes les intentions qui nous sont confiées et celles connues de Dieu seul, gardées au plus secret du cœur. Que la gloire divine se lève sur la terre, Soleil de justice, aurore du Royaume ! Que son Règne vienne !
"A la fin mon Cœur immaculé triomphera", magnifique promesse mariale faite à Fatima. Et bien hâtons le temps de la grâce en imitant le Cœur immaculé de la Reine des Anges, véritable tabernacle et sanctuaire de la présence divine.
A tous, l'Archiconfrérie du Saint Sacrement et des Saints Anges est heureuse de souhaiter une sainte et joyeuse fête.
Que le vénérable abbé Henri Marie Boudon,
Saint François et Saint Taurin,
que Notre Dame et les Saints Archanges Michel, Gabriel et Raphaël,
tous les Anges et tous les Saints du Ciel,
que tous nos bons et chers amis célestes vous gardent et prient pour vous ainsi que tous les vôtres.
Saint François et Saint Taurin,
que Notre Dame et les Saints Archanges Michel, Gabriel et Raphaël,
tous les Anges et tous les Saints du Ciel,
que tous nos bons et chers amis célestes vous gardent et prient pour vous ainsi que tous les vôtres.
Sainte et joyeuse fête !
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